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Intangible
Poisson d'Avril
Poiscaille d'Avril
Poiscaille d'Avril[Toutes les informations présentées en dessous de cette ligne sont spécifiées par le joueur et ne sont donc pas officielles]
Mon Histoire:
Troll errant, jadis nu, se promenant dans les souterrains auprès de son frère de Sang du nom de Teträm rallia avec lui plusieurs trolls dont son élève Le Mauvais Oeil sous une même bannière "La Guilde de la Lumière". Cette guilde, idéale, rencontra bientôt une autre Guilde, les Préda-Trolls, et ils décidèrent de s'unir sous une seule et unique bannière, aujourd'hui connue sous le nom de "Chevaliers Fantômes", se basant sur le code de chevalerie ancestral des Trolls, oublié par presque tous du fait d'une progression de la barbarie sans limite, de vols incessants et d'une haine sans fin. Cette guilde étant mon idéal de vie, je la défendrai contre quiconque décidera de la toucher. Aujourd'hui, je me présente à vous, camouflé sous ma tunique, ma magie formant une lame mortelle, bienvenue mes amis, adieu mes ennemis.
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Je suis dépourvu de foi et ne puis donc être heureux, car un troll qui risque de craindre que sa vie ne soit une errance absurde vers une mort certaine ne peut être heureux. Je n'ai reçu en héritage ni dieu ni point fixe sur la terre d'où je puisse attirer l'attention d'un dieu : on ne m'a pas non plus légué la fureur bien déguisée du sceptique, du rationaliste ou la candeur ardente de l'athée. Je n'ose donc jeter la pierre ni à celle qui croit en des choses qui ne m'inspirent que le doute, ni à celui qui cultive son doute, comme si celui-ci n'était pas, lui aussi, entouré des ténèbres. Cette pierre m'atteindrait moi-même car je suis bien certain d'une chose : le besoin de consolation que connaît l'être humain est impossible à rassasier.
Il n'y a que la barbarie la plus sauvage, il n'y a que la plus insigne fourberie, il n'y a que l'ambition la plus aveugle qui ait pu faire imaginer le dogme de l'éternité des peines. S'il existait un Dieu que l'on peut offenser ou blasphémer, il n'y aurait pas sur la terre de plus grands blasphémateurs, que ceux qui osent dire que ce Dieu est un tyran assez pervers pour se complaire pendant l'éternité aux tourments inutiles de ses faibles créatures.
Troll errant, jadis nu, se promenant dans les souterrains auprès de son frère de Sang du nom de Teträm rallia avec lui plusieurs trolls dont son élève Le Mauvais Oeil sous une même bannière "La Guilde de la Lumière". Cette guilde, idéale, rencontra bientôt une autre Guilde, les Préda-Trolls, et ils décidèrent de s'unir sous une seule et unique bannière, aujourd'hui connue sous le nom de "Chevaliers Fantômes", se basant sur le code de chevalerie ancestral des Trolls, oublié par presque tous du fait d'une progression de la barbarie sans limite, de vols incessants et d'une haine sans fin. Cette guilde étant mon idéal de vie, je la défendrai contre quiconque décidera de la toucher. Aujourd'hui, je me présente à vous, camouflé sous ma tunique, ma magie formant une lame mortelle, bienvenue mes amis, adieu mes ennemis.
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Je suis dépourvu de foi et ne puis donc être heureux, car un troll qui risque de craindre que sa vie ne soit une errance absurde vers une mort certaine ne peut être heureux. Je n'ai reçu en héritage ni dieu ni point fixe sur la terre d'où je puisse attirer l'attention d'un dieu : on ne m'a pas non plus légué la fureur bien déguisée du sceptique, du rationaliste ou la candeur ardente de l'athée. Je n'ose donc jeter la pierre ni à celle qui croit en des choses qui ne m'inspirent que le doute, ni à celui qui cultive son doute, comme si celui-ci n'était pas, lui aussi, entouré des ténèbres. Cette pierre m'atteindrait moi-même car je suis bien certain d'une chose : le besoin de consolation que connaît l'être humain est impossible à rassasier.
Il n'y a que la barbarie la plus sauvage, il n'y a que la plus insigne fourberie, il n'y a que l'ambition la plus aveugle qui ait pu faire imaginer le dogme de l'éternité des peines. S'il existait un Dieu que l'on peut offenser ou blasphémer, il n'y aurait pas sur la terre de plus grands blasphémateurs, que ceux qui osent dire que ce Dieu est un tyran assez pervers pour se complaire pendant l'éternité aux tourments inutiles de ses faibles créatures.