Eskarina Oftime
Son Profil Général :
| N° |
86988 [PNJ] Intangible |
 |
| Réincarnations | ||
| Palmarès sportif | ||
| Maladies | ||
| Race | Skrim | |
| Date de Création | 13° jour du Démon du 6° cycle après Ragnarok [Jour de la Sainte Malchance] | |
| Niveau | 32 | |
| Guilde |
Les Vacheliers de l'Etable Ronde [Vachelier ] |
|
| Mouches | 31 Bzzzz | |
| Nombre de Meurtres | 207 | |
| Nombre de Décès | 25 | |
| Equipement Utilisé | ||
| Possessions | Poiscaille d'Avril | |
| Description : [Toutes les informations présentées en dessous de cette ligne sont spécifiées par le joueur et ne sont donc pas officielles] |
||
  Gloire a la Sainte Vache Elle est notre Mère, notre Guide, notre Salut, notre Espoir !  La Vache est Grande, et le Grand Bison-Zébu est son prophète !  ************************************************** MES ORIGINES, MON ARRIVEE DANS LE HALL ************************************************** Je suis le fruit d'un amour interdit, celle d’un Troll et d’un Yak. Cette histoire et la mienne, et honnêtement, je préférerais que ça soit celle de quelqu’un d’autre. Mon père était un excentrique du nom de Farel. Le hall ne lui convenait pas, il avait besoin de grand air. Il aimait se balader dans les collines environnantes de la surface, et c'est pour ça qu'on le surnommait à l'école Farel des collines. Ses parents pensait que cette sale habitude lui passerait, mais malheureusement, non. A sa majorité, plutôt que de plonger dans les profondeurs du hall comme tous les trolls de son âge, il choisit de partir se balader dans le grand monde en quête d'inspiration. Ses pas l'ont mené dans les montagnes du nord. La seul chose qui lui permettait de survivre au froid était la quantité monstrueuse de gnole qu'il ingurgitait (il disait que ça lui donnait de l'inspiration, aussi). Un soir, ma mère se promenait seul loin de son troupeau. A sa vue, mon père sentit tous ses instincts d'homme remonter. Cela faisait des mois que la seule chose qui se rapprochait d’une femelle qu’il avait vus, c’était sa mouche, et elle avait un sex appeal relativement faible. Il charmât facilement cette innocente et fragile campagnarde (qui, comme toutes les filles de campagne, compense son manque de féminité par la taille de son pis). Son look de mauvais garçons et son accent bizarre lui permit de se voir offrir facilement la petite fleur de ma mère (bien qu'on parle plutôt, dans le cas d'une yak, de pâturages verdoyants). Le lendemain, il se rendit compte de ce qu'il avait fait. Il prit ses affaires, dit à ma mère qu'il allait acheter des croissants pour le ptit dej, et on ne le revit plus jamais. 9 mois plus tard, je naissais. Je suis un hybride, mi troll, mi yak. Mon enfance a été assez difficile au début. Ma mère avait tenté de cacher la réalité de ma naissance à ses parents. Elle eu malgré tout du mal à expliquer pourquoi j'étais bipède. Elle réussit à les convaincre que j’étais un miracle de la nature, une étape importante dans l'évolution des Yaks, que Darwin l’avait prédit et que c'était normal, on n’arrête pas le progrès en pleine marche ma bonne dame. L'incident qui déclenchât mon exil fut bien triste. Lors d'une soirée trop arrosée, ma nature profonde de troll, que je dissimulais tant bien que mal, refit surface. J'ai agressé un Yak à la sortis d'un bar, et je l'ai mangé. Je ne me rendis compte de mon premier YK (Yak Kill) que le lendemain, en me réveillant à coté d'une horreur (ma conquête de la soirée, être une avancé dans l'évolution du Yak n'aidant pas particulièrement à draguer). Ce fut un scandale, et ma mère a été obligée de révéler la vérité sur mes origines. Rejeter par les miens, j'ai choisis de faire le chemin inverse de mon père : j'ai descendus les montagnes pour aller dans le hall, y chercher la réponse a la grande question de ma vie "pourquoi ma mère ma donner un nom de fille, bordel ?" Mes premiers pas dans le hall furent rudes. Des Rats, gros comme des chats ! Ma première rencontre avec un troll se ne se passa pas comme je l’avais imaginé. Je tentais d’attraper un rat (gros comme un chat), et alors, un vieux troll s’est approché discrètement, et m’a planté son épée entre les deux cornes. Surprenant, comme façon de dire bonjour, très honnêtement. Mais j’étais peu au fait des mœurs Troll. C’est alors que j’ai eu l’impression de plonger dans le vide. Pas l’infinis, car l’infini est bleu, et là, c’était très noir. C’est alors que la Mère de nos mère, la Grande, la Très Sainte Vache, est venu me parler. Mais ça, sur le coup, je ne m’en souvenais pas. Suite à ma première mort, je fus très surpris de me retrouver allonger par terre à la surface du hall. Quand on me parlait d’après la mort avant, ça parlait surtout de sauce au Rochefort et de pommes de terre frites. Mon père m’avait donc aussi légué l’immortalité des trolls, et je n’allais pas m’en plaindre. Malgré tout, le mal de crâne qui me tiraillait me poussa à aller voir du coté de la taverne la plus proche. Je ressentais un grave malaise, comme après une fête très arrosée où on est monté tout nu sur une table et que tout le monde s’en rappel sauf soi. ************************************************** LA REVELATION DE LA SAINTE VACHE ************************************************** En effet, j’y ai croisé un troll tout frêle et tout chétif du nom d’Adelaar. Il ne payait pas de mine comme ça, mais il était d’une rapidité redoutable. Il avait trop bu, et soutenais à vive voix que ses talents d’hypnotiseur lui auraient permis de faire croire à un Balrog qu’il était un four à micro-onde. Je l’ai abordé, et lui ai demandé si il pouvait fouiller dans ma mémoire pour savoir ce qui s’était passé lors de ma mort. Il accepta de bon gré, et nous nous sommes isolés du reste du groupe. Il se mit alors à me fixer dans les yeux, et à me dire « Dors, je le veux ». Son haleine aurait de toute manière suffit à plonger un brontosaure dans le coma. Et je me suis souvenue de Ses paroles. « Eskarina Oftime, je suis la très Sainte Vache, la Mère de ta mère, le Sang de ton sang, la Chaire de ta chaire,….. » Bon, honnêtement, c’est assez long et peu intéressant, car la Sainte Vache aime bien tout ce qui est métaphores, tournures de phrases lourdes, et tout le tralala qui caractérise le style imbitable des Divinités quand elles s’adressent aux mortels. En gros, sa disait : « Vénère moi, va casser la tronche de mes ennemis, tel est ta voie. Tu es a moitié bovin, tu en as hérité de la force mais aussi du cerveau, alors fait pas ta tapette, prend une grosse branche et brise leur sur la nuque ». Je me demande toujours pourquoi elle a choisis de faire aussi long alors que dit comme ça, c’est quand même assez compréhensif. A mon réveil, Adelaar, qui m’avais fait tout dire (et d’autre truc honteux en plus que j’avais fait étant petit, histoire de déconner), me dit qu’il était lui-même un fidèle de la Très Sainte Vache. Ce signe ne trompais pas : mon rêve était une réalité, Mère m’avais parlé, et je devais donc suivre ses enseignements. Je suis donc rentré dans la guilde d’Adelaar, les Vacheliers de l’Etable Ronde, en tant qu’apprentis. J’ai fait mes premiers pas en surface, avec Cro Mignon. Quand je dit mes premiers pas, je devrais dire mes premiers super marathon : Cro mourrais souvent, et donc nous passions plus de temps à courir à la surface du hall pour nous retrouver qu’à chasser. Au moins, maintenant, j’ai de très bonne jambe. Et puis nous chassions quand même largement assez pour grandir de façon régulière. Un jour, nous avons reçu une chauve-souris venant des profondeurs. Elle venait de nos maîtres Vacheliers. Ils trouvaient que nous avions assez progressé pour venir les aider, si bien que l’un d’entre eux, Hator, allait utiliser sa puissante magie pour nous téléporter vers notre nouvelle maison : l’Etable Ronde. La grande aventure commence ! Le début de ma plongée se passa bien. J'affrontais de monstres vingt fois plus gros que moi, je prenais pas mal de baffe, mais j'en donnais aussi un peu. Je commençais à mieux connaître mes compagnons de guilde. Je priais la Sainte Vache régulièrement, je découvrais mieux le hall, je vivais une vie incroyable. ************************************************** L’INCIDENT KRASOLIS ************************************************** Mais un drame survint. Un drame qui me bouleversa. Hator fut tué par Karn, un tueur à gage. En soit, mourir n'est pas une chose dramatique dans la vie d'un troll, même si traumatisante. Mais l'enquête qui suivit révéla que le commanditaire était un fidèle de la vache, Krasolis. Krasolis était membre d'une autre guilde de fidèle de la Vache, les Vachement Troll. Ce sont eux qui avaient découvert son existence, eux qui constituaient la principale guilde la vénérant. Je ne comprenais pas, je ne saisissais pas comment un fidèle pouvait attaquer un autre fidèle. De vieille rancune fut ressortis, des affaires obscures furent invoqués de part et d'autre pour justifier cet acte. Mais pour moi, on oubliais un fait fondamental : un fidèle de la Vache avait assassiné un autre fidèle. Comment pouvoir elle tolérer ça ? Comment les instances du culte de la Vache, qui condamnais le meurtre, pouvaient essayer d'excuser un crime aussi horrible. Le temps passa, et la promesse d'une cérémonie de purification de Krasolis me rassurais : au moins, il allais rentrer dans le droit chemin. Des prêtres qui connaissaient mieux la Vache que moi allais s'occuper de lui, et je le pensais entre de bonnes mains. Mais Hator avais le sang bouillonnant. Les Vachement Troll traînaient la patte pour organiser la cérémonie. Peut être ne jugeaient t'ils pas cette affaire comme urgente, alors que le crime le plus horrible envers la Vache avais été commis. Quelqu'en soit la raison, Hator appliqua son propre jugement, et tua Krasolis. Le sang des fidèles de la Vache avait encore coulé, pour la vengeance. Suite à cet acte aussi peu excusable que celui de Krasolis, Hator fut jugé trop suspect par les Vachement Troll, et la Guilde entière des Vacheliers fut suspecté d'être infecté par le Sombre, l'un des ennemis les plus terrible de la Vache. Nous, frères de sang, furent relégués au rang d'allié suspect. Nous qui avions la même croyance, nous devenions des ennemis qui ne se l’avouaient pas. Nous n'avions peut être pas le même dogme, mais notre croyance, nos principes, notre Déesse restait la même. La Vache m'avais dirigé vers les Vacheliers. Depuis mon arrivé dans le hall, tous mes pas m’avaient guidé vers eux et vers Sa vénération. Cette guilde ne pouvait pas être sous le joug du Sombre, j'en avais la conviction la plus intime. Mais les instances les plus haute de ma religion nous rejetais, et je ne pouvais ignorer cela. Kyrie choisis d'aller en guerre avec les Vachement Troll pour essayer de mieux comprendre. De mon coté, je devais redoubler d’effort dans mon culte, pour mieux cerner la Sainte Vache. Je m'étais plongé pendant quelques temps à l'étude de la bibliothèque de l'étable. Ce fut très compliqué au départ, vu que l'école, chez les Yak, ne comprenait pas vraiment de cours de lecture. J'y avais, par contre, appris 78 poèmes différents ayant pour thème un pré sur le versant nord d'une montagne enneigée. Ma première tache fut donc d'apprendre à lire. Mes aînées m'aidèrent à la surmonter. Seul Toro grommelais en me voyant travailler, soit disant que "un bon bourrin, ça travail d'abord ses bras, et ensuite sa tête, et seulement pour mettre des coups de boule". Durant mes recherches j’appris que la principale différence entre le culte des Vachement Troll et celle des Vacheliers était la position par rapport aux Minotaures. Pour nous, d’après les révélations du Grand Bison-Zébu, ils étaient des fils de la vache, d’anciens serviteurs ayant mal tournée. Malgré tout, une certaine pitié devait leur être accordé. Les ordres Minotaures étaient l’origine de la formation des Vacheliers. Les Vachement Trolls niaient farouchement cette affirmation. Pour eux, les Minotaures ne sont que des monstres comme les autres. De même, ils restaient plus que suspicieux sur Malekith, le Grand Bison-Zébu. Pour moi, la révélation de mes pairs ne laissait pas de doutes. Toro n’était il pas un hybride de minotaure et de Troll ? Moi-même, de par ma naissance, leur ressemblais beaucoup. Et quand je regardais les Vacheliers, rien ne me permettait de douter. Malgré nos différences, tous étaient des fidèles serviteurs de la Vache, tous étaient dévoué à cette notion du bien transmise par les écrits. Dire que nous étions infesté par le Sombre, c’était nié trop de fait, trop d’action. Je ne doutais pas de mes frères et sœurs. Le Sombre était fourbe, mais il était clair que ses serviteurs suivaient une voie différente de la notre : le meurtre gratuit, la manipulation, l’abus de confiance étaient leurs armes quotidiennes. Et c’était les principes contre lesquels nous luttions constamment. Nous chassions parfois du Troll, mais uniquement pour rétablir l’Equilibre. Nous parlons beaucoup, mais toujours de façon franche et directe, sans double langage. Nous étions des alliés de confiance, toujours prêt à aider dans la mesure de notre possible. Si le Sombre nous avait infiltré, il était sacrement discret et franchement pas très débrouillard. Les Vachements Trolls avaient des œillères, ils étaient trop fermés dans leur dogme. Ce n’était pas le Sombre qui les menaçait, mais une trop grande ferveur religieuse, qui peut friser l’extrémisme. Suite à cet incident, la chasse reprit de plus belle. J’y ai appris à mieux connaître mes coéquipiers. Les Mundiday passaient, meublés par la chasse, l’écriture de sort et le commerce. On pourrais croire que cette routine étaient ennuyeuse, mais absolument pas, grâce à « l’originalité » de certains plans. Je retiens particulièrement le Mundiday du Dindon du 7ème cycle. ************************************************** LE MUNDIDAY DU DINDON DU 7eme CYCLE ************************************************** Nous chassions profondément dans le hall, juste à coté du cratère laissé par la chute de Carmine. Tout se déroulais bien, les monstres tombaient régulièrement. Le problème survint quand ce ne sont plus les monstres qui sont tombés, mais nous. Le premier à chuter fut Bouze'n cow. Ce Tom, malgré sa vue perçante, n’a pas su éviter le trou, sûrement trop petit par rapport à ses yeux démesurés. Le pire, c’était que nous n’avions pas décidés de bouger, et qu’on se demande encore pourquoi Bouze s’était prit d’aller voir ailleurs. Cet incident marqua le début de la série de catastrophe. Peu après, un kobold arriva dans notre caverne. Je devinais à son air fourbe qu’il n’était pas net. J’essayai de le tuer, mais mes bras n’étaient pas habitués à ma nouvelle hallebarde. Je le perdis de vue, pendant qu’il traînait dans notre campement. Quelques jours après, Istdas fit l’inventaire de nos trésors. Nous venions d’échanger deux paires jambières en maille magique rutilante (une pour moi, une pour Trolldeudam), mais nous n’avions pas encore eu le temps de les enfiler tellement les monstres étaient nombreux. Istdas poussa un cri horrible, si bien que j’ai cru qu’elle aller nous mettre au monde un nouveau trollinet. Une paire de jambière manquait à l’appel. Le coupable ne fut pas dur à identifier. Le kobold s’était servi dans sa fuite. Il était hors de vue, et malgré la puissante vue de Zigouillamor (dont nous verrons après qu’elle ne lui sert pas à grand-chose), nous ne réussissions pas à le retrouver. Malgré ces contrevenues, nous continuons la chasse. Après des jours passés au même endroit, nous avions décidé de nous déplacer de quelques cavernes. Grave erreur. Adelaar, toujours alerte, et Zigou, observateur, tombèrent dans le trou dans la même journée. Définitivement, nous étions maudit. Ou handicapés. Le plus grave fut que Zigou portait un parchemin d’Explosion, que nous ne retrouvâmes jamais. Avec notre principale encaisseur en train de dire bonjour aux Alpha, des Toms en train de bronzer, sous le coup de nombreux malus, et éparpillés dans plusieurs cavernes à cause de la migration, notre groupe était bien affaibli. C’est alors qu’on énorme troupeau de Palouf survint. Cela aurait pu donner une scène très romantique (des chevaux galopants dans les cavernes, la crinière au vent), si lesdits chevaux ne crachait pas du feu par tous les pores. Le plan retenu fut « on se casse sinon on va tous y rester, bordel ». Mais Hator décida que « c’était gérable », que « suffisait de se concentrer un peu » et « qu’on allait pas passer à coté d’une si belle chasse ». Certes, son plan tenait la route, mais nos chances de survie étaient comparables à celle de Krasolis à l’Etable Ronde. Après que nous en ayons pris plein la tronche, que la moitié du groupe fut au bord de l’agonie, Hator se dit que bon, quand même, un petit portail de replis, ça serais pas si mal. La fuite fut très bien désorganisé, chacun passant le plus vite qu’il le pu. Sauf Feuh. Feuh avait décidé de finir sa vouivre. Feuh se dit que 15 Paloufs, ça ne lui faisait pas peur, qu’il avait vu pire. Ou alors, théorie plus probable, il ne se rendit compte de rien. Il resta donc seul derrière, traversa les flammes, finit son monstre, fut carbonisé comme un kebab, et retourna passer le portail. A la sortis, il ressemblait plus à Roger qu’à autre chose. L’odeur de roussis lui colle encore à la peau. Grâce à un miracle de la Sainte Vache, qui clôt ce Mundiday d’effrois, on peut le dire « Feuh ne craint pas le froid, mais le chaud faut faire un peu gaffe quand même». Peu après, les Karlaakis réussirent à retrouver le Kobold voleur. Il s’était caché au milieu du troupeau de Palouf qui nous avait fait tant de misère. Malgré tout, cette guilde puissante (et peut être légèrement mieux organisée que nous) réussit à se défaire du troupeau, et nous rendit mes belles jambières.  Troll ennemis :
Nordikan (+Y) ^ Oxykan (-X) < > Orhykan (+X) v Midykan (-Y)  |
||