| N° | 74915 |
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| Maladies | ||
| Race | Durakuir | |
| Date de Création | 22° jour du Goblin du 5° cycle après Ragnarok | |
| Niveau | 52 | |
| Guilde |
RELAIS&MAGO [Tröll Vermoulu au Poing d'Acier] |
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| Mouches | 27 Bzzzz | |
| Nombre de Meurtres | 267 | |
| Nombre de Décès | 0 | |
| Equipement Utilisé | ||
| Possessions | Poiscaille d'Avril | |
| Description : [Toutes les informations présentées en dessous de cette ligne sont spécifiées par le joueur et ne sont donc pas officielles] |
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![]() Membre de la Garde Emeraude (-/+) "Pàÿs dés Chàùdés Hùméùrs" ....................................."Désõlàtïõns Véntrùés" (+/+) vers Nordhikan | y+1 | x-1 | vers Oxykan | xy | vers Orhykan | x+1 vers Midikan | y-1 | (-/-) "Cõntréés Glàcéés" ....................................."Térrés Émbràséés" (+/-) Grimoire de Mmago: Je pensais d’un soupir, à tous ces déboires Je ne voulais sûrement plus y croire J’ai ouvert alors son vieux grimoire Et relu une à une, ses belles histoires Empli mon esprit de ses mémoires Il ne suffit pas de regarder, il faut voir Qu’une sincère amitié vaut mieux que futile gloire Et j’ai repris d’un sourire…espoir Mes premières paroles: La vraie richesse c'est quand on se contente de ce qu'on a. Demain est une autre DLA. Dans le Hall, vivent trois catégories de troll: Ceux qui savent compter, et les autres... Les gagnants cherchent des solutions, les perdants trouvent des excuses. J'adooore les matérialistes du monde virtuel Paroles de Victor Hugo: L'esprit grandit de ce qu'il reçoit, le coeur de ce qu'il donne Paroles de Mmago: L'avenir n'existe qu'au présent Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort Paroles de Brume: La quête du "mieux" ne doit pas remplacer la quête du "bien" Jouer pour s'amuser est déjà une victoire Paroles de Nospher: Préferez la force de l'argument plutôt que l'argument de la force Paroles de Hellkiller: Que chaque troll trouve sa voie et son chemin Paroles d'Arbo Petit à petit, le monstre faiblit Avec c'qu'on lui a mis, il sera bientôt cuit Force de l'esprit, sagesse du coeur Je ne les oublierai jamais Mi-Kui 73087, Desesper'ado 74497, Kass'tet 6031, örm 80566, HellKiller 43424, Gougou Narnar 23383, Zetek 23049, Arbotroll 65481, Ode à Mun-di: Je vous salue Mun-di, pleine de crasse De sous la terre jusqu’à la surface Que votre trollité se fasse Que jamais votre nom, ne s'efface Donnez nous, je vous prie, notre monstre quotidien Mariné au Calvok, pour qu’on digère bien Nous grandirons ensemble, face au carnage Tous réunis, par les liens sacrés du partage Chant troll d'amitié: De l'obscurité naquit la lumière Et ceux qui la virent surent que l'obscurité était bonne Les Trolls pénétrèrent alors dans les entrailles de la terre Pour protéger leur peau et leurs yeux du soleil qui assomme La terre offrira tout ce qu'un troll voudra Des trésors, de l'aventure, des rencontres La profitable rigueur des combats, La chair délicate des monstres, Mais le SOMBRE guettait, au coeur du royaume enterré, Il s'insinuait dans le corps des Trolls, distillant son venin. Le CHAOS lui-même, à son insu, servait ses desseins. La LUMIERE, seule, combattait fièrement, Lui opposant le combat le plus exigeant : Ne pas s'éteindre, ne pas sombrer. Décidés à se battre, plusieurs guerriers, Que leur âme pure, sincère amitié, Leur goût pour la chasse et la convivialité, Les avaient depuis longtemps rapprochés. Ils comprirent que pour vivre, il fallait s'entraider, Ainsi naquit la Meute des Chevaliers Âpre vérité L’âpre vérité, je l’accepte Mais quelque chose en moi se meurt et s’émiette Je ne retrouve plus, m’attendant sur mon seuil Ce compagnon de jeune ardeur : L’orgueil Je ne me sens plus ni mon maître ni mon guide Et quand je veux me redresser encore J’ai peur soudain que mon effort Ne fasse un geste vain qui n’atteint que le vide Dire qu’au roc vertigineux, j’étais monté Par la plus belle pente Tandis qu’en même temps, la vieillesse rampante S’y traînait de l’autre côté Elle rejoignit au haut de la montagne Mon front que la clarté voudrait encore dorer Le temps me dépasse et me fait chuter Et depuis lors, les ombres me gagnent Avec mes yeux pleins de lumière Je me regarde ainsi vieillir Emportant vers l’éternel hiver Le reflet d’un dernier désir L’âpre douleur, je la rejette Dans mon plus profond soupir Quand un soir, j’eus peur de mourir Rien dans ma vie, je ne regrette |
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