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Poiscaille d'Avril
Poiscaille d'Avril[Toutes les informations présentées en dessous de cette ligne sont spécifiées par le joueur et ne sont donc pas officielles]
Du troll j'en ai tué, et j'ai aimé ça.
Cependant j'ai toujours eu une chose qui me retenait et qui m'empéchait de me lacher vraiment et plus le temps a passé plus elle est devenu forte et pesante dans mon esprit.
Je ne sais pas ce que c'est mais elle m'empèche de me nourrir correctement, laissant des repas bien intéressants continuer leur chemin en paix sans être inquiétés de ma présence (mais moi en fait je voulais pas être tk, je voulais faire assistante sociale mais y avait plus de place).
Je ne sais pas qui elle est ni pourquoi elle fait ça, mais si je met la mains dessus je lui pèterai ses petits bras qui me retiennent sans cesse.
Plus le temps passe moins j'ai envie de chasser du troll, non seulement elle m'empèche de faire ce que je veux mais en plus elle arrive à m'inculquer ses pensées. Je me contente de manger du monsre bien moins gouteu, et quand je vois un troll je n'essaye même plus. En ai-je encore seulement l'envie ?
Heureusement qu'il subsiste quelques ennemis avec qui les affrontements sonnent pour moi comme l'apaisement que l'on ressent aprés s'être retenu trop longtemps.
Merci à eux.
La malchance m'a toujours accompagné.
Même quand la finalité était la victoire, la malchance avait laissé un marque visible sur les combats.
Je m'était habitué à elle, je la vénérait même.
Comme une maitresse éxigente qui m'endurcissait, je prenais ses interventions quotidiennes comme un moyen de me renforcer.
Elle me rendait plus fort pour m'apprendre à vaincre sans qu'aucune chance ne vienne m'appuyer ... enfin c'est ce que je croyais.
Je ne voyais pas l'évidence mais lors de cette bataille j'ai ouvert les yeux.
Elle n'était pas à mes coté pour m'enseigner et me fortifier non.
La vérité est qu'elle était cruelle et que mon sort la préocupait fort peu pourvu qu'elle s'amuse.
Elle s'est jouée de moi tout ce temps, elle est mauvaise et elle n'a jamais mérité l'estime que je lui portais.
Désormais j'ai cessé de voir ce qui n'éxistait pas.
La seule leçon qui a encore de la valeur est que l'on ne peut se fier qu'à ses frères et à sois même et ne jamais escomper autre chose pour prendre la victoire.
Tout faire pour ses frères.
En parlant de frère, Kanson est le miens alors on ne touche pas.