Ernest
Son Profil Général :
| N° | 2 |
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| Hors Jeu | ||
| Distinctions | ||
| Palmarès sportif | ||
| Maladies | ||
| Race | Skrim | |
| Date de Création | 5° jour du Fungus du 1° cycle après Ragnarok [Jour de la Renaissance] | |
| Niveau | 60 | |
| Guilde |
Crazy Trolls [Crazy] |
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| Mouches | 50 | |
| Nombre de Meurtres | 534 | |
| Nombre de Décès | 27 | |
| Equipement Utilisé | ||
| Possessions | ||
| Description : [Toutes les informations présentées en dessous de cette ligne sont spécifiées par le joueur et ne sont donc pas officielles] |
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| Le jugement est rapide... - Quand on s'approche, il faut m'envoyer un message, et vite, sinon je frappe. Je tue à vue ceux qui ne se sont pas déclaré. Je déteste les voleurs et les affameurs. - Si on ne respecte pas sa parole, par exemple dans un échange commercial, la sentence est rapide : le renvoi au soleil. Avis aux amateurs ;-) ------------ La trollette avec qui je partage les os de Marilith et la couche moelleuse est Pucetroll (24292). Mes camarades de chasse sont Pucetroll (24292), Zarbik (38602), El Mariachi (35624), LouisO (15048), Cyrrus (17697) et Saadish, mon frère scribe (3388). ------------ "Tout ce qui tombe est à moi, et par extension : tout ce qui touche le sol est à moi." Vieux proverbe Arpoth-Glaviotain ------------ La trollesse qui a croqué si justement mon portrait sur parchemin est Hellen Rolles (16965). Gloire à elle et son talent !!! ------------ Tabatière à herbe qui faire rire Vieille tabatière en bois, avec mécanismes en vieux métal. Un ouvrage simple et beau. Des initiales sont gravées au dos : "M.O." . A l'intérieur, une étrange herbe séchée, à fumer. Etui pénien Cet étui est un ouvrage tressé dans des branches souples, permet de ne prendre aucun risque en combat. Une petite ficelle de cuir permet d'accrocher l'ensemble à la jambe. Loin d'être un objet primitif, cet objet est un accessoire indispensable au bretteur qui ne souhaite pas s'encombrer d'une armure et maintenir tout de même un niveau de sécurité pour ses attributs virils. Cet étui a été finement tressé par les mains expertes d'un artisan libertaire de la coopérative du village libre d'Arpoth-Glaviot. ------------ Dans la famille, on est bûcheron ou sabotier. Mon grand-père paternel (Jules) était sabotier. C'est très important dans un village, un sabotier. Mais bon, il n'en faut pas cinquante. Il a transmis le métier à mon père, aîné d'une famille de 6 trolls. Quelques années ont passées, et puis, nous sommes nés. Ma grande soeur d'abord : Gudule. Puis Ernest (moi, quoi) est né. Après moi sont venus mes deux frères, Maurice (comme papa) et Jean-Jean. Mon père a commencé à m'apprendre son métier, sabotier. Et puis, quand j'ai eu une quinzaine d'année, mon père est parti... et il n'est jamais revenu. Maurice, mon papa, était parti explorer les souterrains de Mounty Hall, des grottes profondes pas loin de chez nous, avec ses amis Nyrla Troll Thep et Bouffe tout. J'ai alors arrêté d'apprendre mon métier. Dommage. J'ai suivi alors Grand Pa (le père de ma mère, suivez un peu !), et je suis devenu bûcheron. J'aimais bien, bûcheron. Mais une chose me tarabustait : qu'est devenu mon papa ? Je suis allé prendre conseil aux anciens du village, et ils m'ont dit que le béta-monde avait pris fin dans Mounty Hall, et que je ne retrouverai pas la trace de mon père : "Non, il n'est pas mort. Il a disparu avec le béta-monde. Tout comme ses compagnons, Nyrla Troll thep et Bouffe tout, nous ne savons pas ce qu'ils sont devenus." Ma décision fut vite prise. J'allais chercher mes amis Yog-Sotroll (22) (l'élève de Nyrla Troll Thep), SBAM (5) (la fille de Bouffe tout), Ramirez (16) (heu... on les appelle tous Ramirez dans la famille, alors, fils de Ramirez), KrisppTroll (560) (un bon gars du village), Ursouff (203) et quelques autres et je leur comptai l'histoire. Et c'est comme ça que nous avons pris le chemin de Mounty Hall. ------------ L’épreuve de la fosse Même si Arpoth-Glaviot n’est pas un village de guerriers, il faut nous défendre par nos propres moyens. Nous ne possédons que le nécessaire pour assurer une vie agréable aux villageois, mais parfois nous devons faire face à des monstres qui sortent de la forêt ou des souterrains de Mounty Hall. Le cérémonial de l’épreuve de la fosse est un point de passage important et une bonne occasion pour tout le village de faire la fête. Plus qu’une réelle épreuve de force ou de courage, il s’agit d’un rite initiatique. L’épreuve de la fosse consiste à tuer un rat géant, seul face à lui dans une fosse, avec une arme de son choix. Cette épreuve a lieu tous les ans, lors de la fête du Z’nit de la Vouivre, Vers la fin d’après midi, alors que le soleil commence à décliner. J’avais passé une excellente journée. Je chaussais mon étui pénien, je préparais mon coutelas en os. Ce même coutelas, qui a servi à Pa Maurice à tuer son Rat Géant quand lui-même avait huit ans, et à Grand-Pa Jules avant lui, et avant lui à tous les trolls de notre famille. Pa Maurice est venu me chercher : j’étais prêt. Nous sommes allés sur la place d’Arpoth. Nous étions plusieurs camarades à passer l’épreuve : Ramirez, Sbam, Yog-Sotroll et Totoll. Dans les spectateurs, il y avait nos amis KrisppTroll et Dark Maulusk, qui passeraient l’épreuve l’année d’après. Je descendais dans la fosse. Le silence se fit. Comme sans doute des milliers de jeunes trolls avant moi, je sentais mon estomac se nouer. L’épreuve commençait. Une rumeur, comme une brise légère dans la fin d’après midi, me chatouillait les côtes. Du fonds de la fosse, je ne voyais pas le soleil, mais les silhouettes des spectateurs, attentifs, se découpaient dans le ciel bleu de l’été. Je fixais alors la porte, je me mis en position de combat, le coutelas à la main. Je connus alors pour la première fois la sensation que j’ai eu des milliers de fois par la suite dans l’attente de corps à corps violents : les poils de ma nuque se hérissèrent, augmentant encore cette tension pourtant déjà à son paroxysme. Mes sens en éveil, j’entendis la porte de la cage se lever, presque dans un demi-conscience. Le combat ne fut qu’une succession de coups, de sang, de sueurs, de cris et de fureur, jusqu’au moment où je sentis le corps de mon adversaire céder et n’être plus qu’un pantin dans mes bras. Ce jour fût dans ma vie un tournant : même si je n’en avais pas conscience à l’époque, c’est là que je décidais de devenir un guerrier. Tableau de Chasse : (242 meurtre(s) )
Au Tableau de Chasse de : (16 mort(s) )
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