Groborne

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Son Profil Général :
47424
Wôuhlalãh
Maison Groborne
Hors Jeu
  • [Àmï dé Mõûnt°y°hàll]
  • Réincarnations
  • [Ascendant de : Carotte de Barbarie (111410)]
  • Distinctions
  • [Pocheur de "Les Yeux"]
  • Maladies
  • [Immunisé à la Peste Scrofuleuse]
  • Race Skrim
    Date de Création 23° jour du Scarabée du 3° cycle après Ragnarok
    Niveau 39
    Guilde -
    Mouches 40
    Nombre de Meurtres 474
    Nombre de Décès 30
    Equipement Utilisé Casque à Pointes de Résistance
    Grosse stalagmite du Temps
    Possessions
    Description :
    [Toutes les informations présentées en dessous de cette ligne sont spécifiées par le joueur et ne sont donc pas officielles]
    Le troll Groborne (1976-2009) est un sociologue troll dont la pensée a exercé une influence toute relative dans les sciences trolliennes et sociales, en particulier sur la sociologie trollesque d’avant-ragnarok. Sociologie du dévoilement, elle a fait l’objet de quelques menues critiques, qui lui reprochent en particulier (a) une vision déterministe du social dont il se défendait, et (b) l'utilisation inutile de mots compliqués de plus de deux syllabes.

    Son oeuvre sociologique est dominée par une analyse des mécanismes de reproduction des trolls. Groborne insiste sur l’importance des facteurs culturels et symboliques dans cette reproduction et critique le primat donné aux facteurs économiques dans les conceptions marxistes. Fondamentalement athée, Groborne a toujours accepté de se reproduire.

    L’oeuvre de Groborne est ordonnée autour de quelques concepts fondamentaux : procrastination comme principe d’action des agents et violence symbolique comme mécanisme premier d’imposition des rapports de domination. C'est aussi une oeuvre politique puisque Groborne s'est engagé toute sa vie contre les actions troll-killeristes, parfois même à travers un engagement violent et pas du tout symbolique de type ATKisme.

    Groborne se distingue par l'emploi régulier de formules paradoxales ou auto-référentielles, comme « je m'aime beaucoup », de préfixes comme dans l'invention du terme ré-auto-bidouillage (se bidouiller soi-même) et l'invention de néologismes comme teleplop.