N° | 59200 | |
Maison | Ghàrbh (59200) | |
Réincarnations | ||
Maladies | ||
Race | Durakuir | |
Date de Création | 9° jour de la Limace du 4° cycle après Ragnarok | |
Niveau | 31 | |
Guilde |
L'Ordre de l'Ewald [Hiérophante] |
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Mouches | 29 Bzzzz | |
Nombre de Meurtres | 57 | |
Nombre de Décès | 14 | |
Equipement Utilisé | ||
Possessions | Poiscaille d'Avril | |
Description : [Toutes les informations présentées en dessous de cette ligne sont spécifiées par le joueur et ne sont donc pas officielles] |
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Vous apercevez un être haut et large, silhouette noire imposante dans la silencieuse obscurité des cavernes du Hall. Observé de plus prêt, il porte une armure colossale le recouvrant des pieds à la tête, émettant de sinistres grincements quand il marche lentement entre les innombrables piliers soutenant le monde. Les pointes fixées ça et là, sur les épaules et les bras, terminent le sombre tableau. Son armure n’a pas l’air de le gêner, bien qu’elle soit composée de pierre et de fer et agencée de manière extrêmement complexe afin d’allier au mieux les deux éléments. A certains endroits ont été placés des morceaux de cuir, pour protéger les rares points faibles de cette impressionnante cuirasse. Il tient dans sa main gauche un énorme bouclier, fait de bois et de fer, qu'il porte sans difficulté malgré le poids apparent de l'objet. Témoins de nombreux combats, son armure ainsi que son écu sont couvert de traces de coups et par endroits, de taches de sang noircies par le temps. De son autre main, il porte une grande bannière, énorme, composée d'une immense barre de bois auquel est fixé un rectangle en cuir décoré d'un motif étrange. Le respect qu’il a l’air de lui porter est tel qu’il ne s’en sert pas pour marcher comme d’un bâton : il la porte bien haut pour que tout le monde voit l’étendard sacré. Sous son épais casque de fer, vous distinguez un regard glacial plus pénétrant qu’une lame, comblant son manque apparent d’arme. Ajouté à cela, son allure de force tranquille, l’épaisseur de son armure et le sentiment d’apaisement émanent de sa bannière dissuaderait bien des ennemis de s’en prendre à lui. La quinzaine de mouches lui tournant autour, s’infiltrant dans les interstices de sa cuirasse pour ressortir quelques instants plus tard, ainsi que l’odeur caractéristique de votre espèce vous révèle sa nature de troll, chose peut évidente à distinguer pour qui n’a pas le nez fin. |